*[Pour le Fun

La nuit était claire et étoilé, lorsqu'Annà sortit de sa résidence. Vétu legèrement d'une robe de soirée rouge ample qui lui allait jusqu'au genoux, et d'un leggins noire, de chaussure à talon fin, ces cheveux de châtaigne attaché haut sur son crane, avec quelques mèches rebelles retombant sur ses yeux vert. Une pochette noir, dans sa main finement doigté, pailettée, qui comportait son lip à lèvre, son mascara fétiche ainsi que son eye-liner, son portable dernère revolution, coulissant Light, des trucs de prévoyances, et finalement des pinces pour ses cheveux, ainis qu'un repertoire electronique. A son coup pendait en premier plan, un sautoire dôté de perle noir et rouge, en froem de coeur, de cristale et d'oval, et dessous, un plus discret et plus précieux, dont la chaine d'argent faisant pendre un pendentif à ouverture. Bien sûr on ne voyait guère ce qu'il renfermait, mais il était en forme de coeur, et on distinguait la coupe d'une photo qui dépassait. Entre les pavés de Londres ses talons claquaient, et ses boucle d'oreilles pendu se balançaient legèrement.
La brise legère du soir, fit torde son collier, et d'une main instinctif elle saisit son pendentif entre ses doigts, avant de le relacher, genée par son geste impulsif. Elle semblait si innonfesif et frèle par ce mouvement trahissant des sentiments. Mais dans ses yeux d'emeraude brillaient ou crepitait une flamme verte, et une ambition extrème.Puis elle lança ses cheveux meché derrière son épaule, avant de se remettre à marcher, jusqu'au barre le plus branché de la ville. Lorsqu'elle poussa la porte close, une homme tout vetû de noire, et de lunette de soleil sombre, costaud et robuste, l'interpella, et lui demanda sa carte d'identité. Sans cacher son exasperation, Annà sortit sa carte et la montra dedaigneuse. On la laissa entré, et la musique tappante penètra dans ses oreilles. Certains regards se tournèrent vers elle, langoureux ou admiratif.